Intérêt écologique ; état des lieux de la situation : selon quels critères ? Que faut-il faire pour atteindre une bonne qualité ?

Le bon état d’une eau de surface

La DCE définit le "bon état" d’une masse d’eau de surface lorsque l’état écologique et l’état chimique de celle-ci sont au moins bons.   L’état écologique d’une masse d’eau de surface résulte de l’appréciation de la structure et du fonctionnement des écosystèmes aquatiques associés à cette masse d’eau. Il est déterminé à l’aide d’éléments de qualité : biologiques (espèces végétales et animales), hydromorphologiques et physico-chimiques, appréciés par des indicateurs (par exemple les indices invertébrés ou poissons en cours d’eau). Pour chaque type de masse de d’eau (par exemple : petit cours d’eau de montagne, lac peu profond de plaine, côte vaseuse...), il se caractérise par un écart aux « conditions de référence » de ce type, qui est désigné par l’une des cinq classes suivantes : très bon, bon, moyen, médiocre et mauvais. Les conditions de référence d’un type de masse d’eau sont les conditions représentatives d’une eau de surface de ce type, pas ou très peu influencée par l’activité humaine.

L’état chimique d’une masse d’eau de surface est déterminé au regard du respect des normes de qualité environnementales (NQE) par le biais de valeurs seuils. Deux classes sont définies : bon (respect) et pas bon (non-respect). 41 substances sont contrôlées : 8 substances dites dangereuses (annexe IX de la DCE) et 33 substances prioritaires (annexe X de la DCE).

Pour la qualité des eaux souterraines = qualité chimique + quantité (prélèvement acceptable).

L’état écologique d’une masse d’eau de surface résulte de l’appréciation de la structure et du fonctionnement des écosystèmes aquatiques associés à cette masse d’eau. Il est déterminé à l’aide d’éléments de qualité : biologiques (espèces végétales et animales), hydromorphologiques et physico-chimiques, appréciés par des indicateurs (par exemple les indices invertébrés ou poissons en cours d’eau). Pour chaque type de masse de d’eau (par exemple : petit cours d’eau de montagne, lac peu profond de plaine, côte vaseuse...), il se caractérise par un écart aux « conditions de référence » de ce type, qui est désigné par l’une des cinq classes suivantes : très bon, bon, moyen, médiocre et mauvais. Les conditions de référence d’un type de masse d’eau sont les conditions représentatives d’une eau de surface de ce type, pas ou très peu influencée par l’activité humaine. (http://www.eaufrance.fr)

Pour aller plus loin : Arrêté du 29 juillet 2011 modifiant l’arrêté du 25 janvier 2010 établissant le programme de surveillance de l’état des eaux en application de l’article R. 212-22 du code de l’environnement

Étude des écosystèmes des rivières

Le suivi de la qualité écologique et chimique de l’eau est porté nationalement par l’Agence de l’Eau et en complément des réseaux de surveillance de petits ruisseaux sont portés par le Département.

Des suivis spécifiques peuvent être engagés par Fédération départementale de Pêche 26 sur certains ruisseaux. Des études spécifiques du SMRD intègre le suivi de certains rus (suivi de la zone humides Nays, étude d’impact des activités de loisirs, …). Les études finies du SMRD sont disponibles sur ce site, onglet Documentation; par Thèmes.

Document de synthèse avec références sur l’état de la rivière

L’état des lieux du SAGE constitue un document de synthèse des études existantes sur le bassin versant de la Drôme. Il est également accompagné de son atlas géographique qui illustre les données et constats à partir de cartes. Ces deux documents sont disponibles sur le site du SMRD onglet documentation; par Thèmes.

"Y-a-t-il un recensement des oiseaux qui vivent ou reviennent près du cours d'eau ? Des mammifères spécifiques, castors, loutres... des insectes ou papillons? Espèces en déclin et espèces en expansion ? Des fleurs, des plantes spécifiques ?

Un recensement de la faune et de la flore du bassin versant a été en partie réalisée en 2006 dans le cadre du 2ème contrat de rivière qui permettait le financement de ces études. Depuis, différents acteurs spécifiques engagent ces suivis : l’association « Castors et homme » pour le suivi castor, la réserve naturelle nationale (RNN) des Ramières et la Ligue pour la protection des oiseaux (LPO), la FRAPNA et LYSANDRA engagent des suivis sur les oiseaux, la loutre, les insectes.

Quelques exemples : http://www.lpo-drome.fr/nos-actions/connaitre/suivis-observatoires/

https://www.faune-drome.org/, https://www.faune-drome.org/index.php?m_id=30068

En 2019, les espèces d’oiseaux ont été recensées sur le cours de la Drôme

Que faire ? Comment lutter contre l'ambroisie

Sur ma propriété : je l'arrache !

Hors de ma propriété, sur un terrain public, s'il y a seulement quelques plants : je l'arrache ! S'il y a en a beaucoup : je signale la zone infestée par un des moyens suivants :

http://www.signalement-ambroisie.fr/ ;   http://www.ambroisie.info/pages/envahi.htm

Plan d’actions pour la lutte contre l’ambroisie département de la Drôme juillet 2019 : https://solidarites-sante.gouv.fr/IMG/pdf/plan_d_action_drome_2019.pdf